Ce mot identifie un menteur en moins de 10 secondes, selon un avocat expert en divorce

Ce mot revient toujours chez les personnes qui essaient de cacher quelque chose.

Interviewé dans le podcast « Diary of a CEO », Jefferson Fisher, avocat plaidant et spécialiste reconnu de la communication, partage ce qu’il a appris après des années de pratique en droit civil. Son truc à lui, ce n’est pas seulement la plaidoirie. C’est aussi l’analyse du langage, des silences, des regards, et de tout ce qui trahit ce qu’on ne veut pas dire. 

L’avocat américain a vu passer des centaines d’affaires de divorce. Il a entendu des versions contradictoires, des récits calibrés, des silences gênés. Et il affirme qu’un mot en particulier revient toujours chez les personnes qui essaient de cacher quelque chose. Ce mot, selon lui, permet d’identifier un menteur en moins de dix secondes. Pour l’expert, il ne s’agit pas d’un tic de langage anodin, mais d’un réflexe verbal révélateur. Dans son propre podcast Jefferson Fisher, il répète que la vérité se lit souvent dans la manière dont les choses sont dites, plus que dans les choses elles-mêmes. Son approche est directe : mieux on sait lire les mots des autres, mieux on protège ses propres relations.

Que ce soit dans un couple, lors d’une dispute familiale ou face à un collègue, il prône une communication plus claire et surtout plus lucide. Lors d’un épisode, il a fait une démonstration simple. Son interlocuteur lui a posé une question typique d’un interrogatoire de couple : « Tu envoyais des textos en conduisant ce jour-là ? » L’avocat répond aussitôt : « Non, je n’envoie jamais de textos. Jamais en conduisant. » Puis il s’arrête. Et explique pourquoi cette réponse, pourtant rassurante en apparence, est justement suspecte. « J’ai utilisé un grand mot. J’ai dit ‘jamais’. Jamais est un extrême. Les extrêmes sont un signe évident qu’ils ne disent généralement pas la vérité. Tout le monde envoie des textos au volant à un moment ou à un autre, même en voiture. Jamais et toujours. C’est toujours ou jamais vrai. C’est donc un gros problème », observe-t-il.

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Source : Journal des femmes