Brigitte Bardot a-t-elle renoué avec son fils ? Son mari balance : « J’ai proposé à Brigitte d’aller le voir… »

Brigitte Bardot a tenu des propos très durs envers son fils et n’a jamais été proche de celui-ci. L’homme de 65 ans habite d’ailleurs en Norvège, loin de sa mère qui réside à Saint-Tropez. Mais ont-ils des contacts aujourd’hui ?

Brigitte Bardot, qui fêtera ses 91 ans ce 28 septembre, a toujours eu une relation compliquée avec son fils, Nicolas. Mais aujourd’hui, a-t-elle toujours contact avec son enfant ? Son mari, Bernard d’Ormale, a fait des confidences exclusives à Paris Match sur le sujet…

Brigitte Bardot a-t-elle contact avec son fils ? Son mari fait des révélations

L’amoureuse des animaux n’a jamais voulu être mère et même après la naissance de son fils Nicolas, fruit de son ancien amour avec Jacques Charrier, qui est d’ailleurs récemment décédé, l’ancienne comédienne n’a pas développé un lien proche avec son enfant. A l’âge adulte, le jeune homme s’est marié avec la mannequin Anne-Line Bjerkan et est parti s’installer en Norvège avec son épouse, bien loin de sa génitrice.

Toutefois, le mari de Brigitte Bardot, Bernard d’Ormale, l’a convaincue de reprendre contact avec lui. « J’ai proposé à Brigitte d’aller voir son fils et puis voilà, ça s’est bien passé« , a-t-il récemment assuré à Paris Match. Désormais, mère et fils ont une relation plus stable. « Ils ne se voient pas beaucoup, mais il est souvent venu à la Madrague. Et ils s’appellent régulièrement. Tenez, encore avant-hier« , a expliqué le mari de l’ancienne icône du cinéma français.

Brigitte Bardot, dure envers son fils : « Comme une tumeur qui s’était nourrie de moi… »

L’interprète de la chanson La Madrague avait très mal vécu sa grossesse à l’époque et elle n’a pas hésité à décrire ce qu’elle avait ressenti dans une autobiographie, Initiales B.B., sortie en 1996 : « C’était comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin. Le cauchemar est arrivé à son paroxysme, il fallait que j’assume à vie l’objet de mon malheur (…) J’aurais préféré accoucher d’un petit chien« .

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Source : Journal des femmes