Miss France 2024 moquée avant Miss Univers : son discours fait le buzz
Miss France 2024 à Miss Univers : Eve Gilles moquée pour son discours
À quelques jours de l’élection de Miss Univers, qui se tiendra le 21 novembre à Bangkok, Eve Gilles, la représentante de la France, fait parler d’elle. La jeune femme de 22 ans, Miss France 2024, participe à cette compétition avec l’espoir de décrocher la couronne.
Une prestation qui fait rire sur les réseaux sociaux
Lors d’un défilé sur scène, Eve Gilles a surpris les internautes par son intonation lorsqu’elle a annoncé le nom de son pays. Plutôt que de le faire en le criant comme sa prédécesseure, elle a choisi de le dire doucement, en mode minimaliste. Cette approche lui a valu de nombreuses moqueries en ligne. Certains ont commenté qu’elle n’avait pas voulu refaire la même erreur, d’autres ont souligné qu’elle avait parlé en minuscule. La France a également été qualifiée de victime d’un stress post-traumatique, ou encore certains ont dit qu’on ne savait pas vraiment si elle avait dit « France » ou quelque chose de similaire.
Une stratégie d’entraînement pour éviter les erreurs
Pour éviter tout faux pas, Eve Gilles a expliqué dans Paris Match qu’elle s’était entraînée. Elle a précisé : « Je ne suis pas quelqu’un qui a pour habitude de faire porter sa voix assez fort, qui va crier au quotidien. Je me suis entraînée en salle de danse, pendant mes cours de catwalk, pour éviter les petits couacs, savoir quelle syllabe appuyer un peu plus… »
Une candidate prudente face à la pression
Originaire du Nord de la France, la jeune femme a opté pour une annonce discrète de son pays lors de la présentation vidéo, publiée sur le compte TikTok officiel de Miss Univers. Sa vidéo a déjà été vue plus de 8,5 millions de fois. La stratégie de prudence semble payante, mais la moquerie reste présente en ligne.
Malgré cette pression, Eve Gilles reste concentrée sur le concours. Si elle ne remporte pas la couronne, elle a déjà des projets en tête, notamment reprendre ses études en mathématiques, s’installer confortablement, et peut-être retourner plus régulièrement à La Réunion, comme elle l’a expliqué en octobre dernier.


