La vie quotidienne de Brigitte Bardot à Saint-Tropez

Brigitte Bardot, qui a récemment démenti une fausse information sur sa mort, vit dans sa résidence de la Madrague, à Saint-Tropez, où elle réside depuis plusieurs décennies. Cependant, son quotidien a bien changé au fil du temps.

Une vie tranquille dans sa propriété de la Madrague

Autrefois lieu de fêtes avec des stars comme Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo, la résidence de la Madrague est aujourd’hui un endroit paisible. Selon un ami de l’ancienne actrice, Henri Jean-Servat, on n’y entend « aucun bruit, sinon le clapotis des vagues ». Brigitte Bardot, mariée à Bernard d’Ormale depuis 1992, dort tard et se réveille dans un silence complet, interrompu seulement par les bruits de ses chiens.

Elle aime paresser dans son grand lit en bois torsadé, profitant du calme de sa maison. Le matin, elle reste souvent au lit jusqu’à midi, sans être dérangée. Lorsqu’elle commence ses activités, c’est généralement en écoutant de la musique classique. L’après-midi, elle se consacre à ses engagements pour sa fondation, notamment en lisant son courrier ou en s’occupant des questions liées aux animaux.

Une vie retirée, entre nature et animaux

Brigitte Bardot évite le centre-ville de Saint-Tropez et ne se rend jamais sur le port. Elle partage son temps entre la Madrague et une autre maison située à la Garrigue, non loin de là. Elle explique que cette résidence reflète sa vie actuelle, contrairement à la Madrague, qui évoque ses années de jeunesse et de fêtes.

La Garrigue lui offre la tranquillité dont elle a besoin, loin des curieux qui viennent souvent se rassembler devant sa résidence principale. Pour elle, cet endroit est un « paradis pour animaux », où elle vit en harmonie avec la nature. Elle décrit cette nouvelle vie comme une « réincarnation », proche de la nature, des animaux, mais aussi de la vérité, de la douleur et des joies.

Elle confie également qu’elle vit désormais « comme une fermière » entourée de moutons, chèvres, cochons, chevaux, ânes, chiens et chats. Récemment sortie de l’hôpital pour des difficultés respiratoires, elle semble plus que jamais attachée à cette existence simple et proche des animaux.