Les meilleures positions du Kamasutra debout
Vous avez soudainement envie de votre partenaire mais vous vous trouvez dans un espace restreint ? C’est l’occasion de faire l’amour debout.
Le cadenas
Plan de travail, lavabo, machine à laver, imprimante, bureau, table de la cuisine… À Madame de trouver le meuble haut qui lui convient puis de s’asseoir au bord, en appui sur les mains. Pour davantage de confort, elle peut placer un petit coussin en-dessous de ses fesses. Elle écarte les jambes puis enserre la taille de son partenaire avec. Quant à Monsieur, il s’agrippe aux hanches de sa partenaire et mène la danse avec ses va-et-vient. Cette position peut être un peu difficile à tenir sur la durée car elle est assez acrobatique.

Les + | Les – |
---|---|
C’est une position sauvage et romantique à la fois puisque les partenaires peuvent se regarder droit dans les yeux. | Si la hauteur du meuble n’est pas adaptée, la position risque de se révéler inconfortable. |
Elle peut se pratiquer n’importe où, n’importe quand. | |
Elle favorise le dirty-talk. |
Le collier de Vénus
Allongée sur une table ou un lit, la femme a les jambes relevées en équerre et pose ses chevilles au niveau des épaules de son partenaire. Debout entre les cuisses de cette dernière, l’homme tient fermement la femme contre lui puis l’amène au-dessus du vide. L’équilibre n’étant pas facile à tenir dans cette position, la femme peut poser s’appuyer sur une chaise.

Les + | Les – |
---|---|
L’angle de la verge et du vagin entraîne des sensations nouvelles qui ne laisseront personne indifférent. | Sans une solide sangle abdominale, il va être difficile de tenir la position car elle entraîne des tensions dans les cuisses et les lombaires chez l’homme. |
Comme la femme a les mains libres, elle peut caresser son ventre, sa poitrine et son clitoris, pour le plus grand plaisir de son partenaire. | À force d’avoir la tête en bas, cela fait mal aux cervicales de la femme. |
Le collier de Vénus favorise le ventre plat chez la femme tout en mettant en avant sa poitrine. |
Source : Journal des femmes