Un voyageur passionné, après avoir sillonné le globe entre 2007 et 2017, a récemment partagé sur son site OneStep4Ward une liste des pays les moins prisés par les touristes. En se basant sur des données statistiques officielles, cet explorateur intrépide a également expliqué les raisons pour lesquelles ces destinations sont souvent délaissées. Découvrez les trois pays qui occupent le haut de ce classement.
À la première place : La Somalie
La Somalie, pays situé en Afrique de l’Est, occupe fièrement la première position de cette liste. Réputé pour être l’un des pays les plus dangereux au monde, il attire en moyenne seulement une centaine de visiteurs chaque année. Dans certains cas, ils ne sont même pas plus d’une vingtaine. Il est important de noter que certains voyageurs confondent parfois la Somalie avec le Somaliland, une région autonome au nord-ouest du pays, bénéficiant d’une relative sécurité et stabilité politique.
À la deuxième place : Le Yémen
Le Yémen, pays niché au Moyen-Orient, occupe la deuxième position de ce classement. Situé à l’extrémité sud-ouest de la péninsule arabique, il représente un véritable défi pour les voyageurs avides de découvertes. Pour s’y rendre, il est souvent nécessaire de passer par des escales telles qu’Abou Dabi (Émirats arabes unis) ou Le Caire (Égypte). De plus, l’obtention de visas est rare et le voyage peut être semé d’embûches. Après avoir été ravagé par une guerre civile, le Yémen a été délaissé par les touristes, accueillant désormais moins de cinq cents visiteurs chaque année.
À la troisième place : La Guinée équatoriale
La Guinée équatoriale, pays situé en Afrique centrale, se hisse à la troisième place de ce classement. Composée de la région continentale de Rio Muni ainsi que de cinq îles volcaniques, cette ancienne colonie espagnole a accédé à l’indépendance le 12 octobre 1968. Les voyageurs chanceux qui ont pu explorer cet archipel décrivent souvent l’expérience comme « paradisiaque » et « magnifique ». Toutefois, l’obtention d’un visa pour se rendre dans ce pays insulaire est extrêmement difficile. Par conséquent, le nombre de visiteurs annuels reste inférieur à mille.