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Une étude révèle le nombre exact de sorties dont une mère a besoin pour être heureuse

Une étude révèle le nombre exact de sorties dont une mère a besoin pour être heureuse

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Cheerful mother hugging son and reading handmade greeting card with heart while resting on bed during holiday celebration mothers day at home

Les mères sont souvent considérées comme des superhéros ; elles sont responsables de tout et doivent veiller à ce que tout le monde soit heureux et en sécurité. Mais pour qu’une mère soit heureuse, elle a également besoin de temps pour elle-même. Une nouvelle étude révèle le nombre exact de sorties dont une mère a besoin pour être heureuse et équilibrée.

Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford, les mères devraient sortir au moins deux fois par semaine pour rester heureuses et équilibrées. L’étude a révélé que les mères qui sortaient au moins deux fois par semaine étaient plus satisfaites et plus épanouies que les mères qui sortaient moins souvent.

En effet, selon une enquête Ipsos de 2022, 80% des femmes ont rapporté souffrir de charge mentale. Ce surmenage peut mener petit à petit à l’épuisement.

Ainsi, pour préserver sa santé et son bien-être, il est primordial de prendre soin de soi.

Les chercheurs ont interrogé plus de 1 000 mères et leurs résultats ont montré que les mères qui passaient trop de temps à la maison étaient plus susceptibles de ressentir des sentiments de dépression et de solitude. Elles étaient également moins satisfaites de leur vie et avaient du mal à trouver du temps pour se détendre et faire des activités qu’elles aiment.

Les chercheurs ont déclaré que les mères devraient essayer de trouver du temps pour elles-mêmes tout au long de la semaine. Elles devraient chercher des moyens de s’échapper de leur routine quotidienne et de trouver des activités qui leur permettent de se sentir épanouies et satisfaites.

Cet échappatoire peut varier d’un simple verre avec des amis, à une séance de shopping entre amis, ou même à une balade en forêt ou autres. L’important ici ce n’est pas la nature ni la longueur de ces activités mais plutôt leur fréquence.

Selon l’auteur de l’étude, Robin Dunbar, « C’est typiquement le temps que l’on a tendance à passer avec nos amis proches et notre famille. Les personnes aux relations sociales variées souffrent moins de maladie et ressentent moins de peine. »

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